Outillage et injection plastique : l’intégration verticale, un levier de compétitivité

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Pourquoi l’intégration verticale change la donne

Concevoir, industrialiser et produire une pièce plastique technique exige une chaîne de décisions fluide entre bureau d’études, outil de production et atelier d’outillage. Dès que ces maillons sont externalisés et dispersés, les délais s’allongent, les coûts de re-travail explosent, et la qualité devient difficile à stabiliser.

Chez Sagaert Plasturgie, nous avons fait le choix d’une intégration verticale : conception et fabrication d’outils, mise au point, injection (y compris salle blanche), surmoulage, bi-injection, maintenance et modifications.

Cette continuité réduit les frictions, raccourcit les boucles de validation et sécurise la répétabilité des séries, du prototype au grand volume. Notre parc machines couvre des presses 100 % électriques, bi-injection, verticales de surmoulage, grands tonnages et salle blanche, complété par l’usinage et la maintenance outillage au sein du groupe.

Ce que gagne votre projet : délais, coûts, qualité

Délais comprimés

  • Un interlocuteur unique (BE/outillage/injection) : décisions plus rapides, planning cohérent, pas d’attente inter-fournisseurs.
  • Zéro rupture d’information : historique process/matière/outillage partagé, donc correction ciblée et immédiate.
  • Capacités en salle blanche : essais et productions médicales sans basculer d’usine.

Maîtrise des coûts

  • Moins d’itérations outillage : un DFM piloté par la réalité presse limite les retouches lourdes.
  • Temps de mise au point réduit : paramétrage process et correctifs mécaniques menés dans le même cycle.
  • Taux de rebut contenu : stabilité de la fenêtre process + maintenance intégrée = qualité constante.

Qualité et robustesse industrielle

  • Presses 100 % électriques (précision/répétabilité), parc bi-injection et verticales pour surmoulage assurent la conformité dimensionnelle et l’intégration de fonctions (clips, charnières, inserts).
  • Traçabilité homogène : du lot matière au lot pièce, en passant par l’outillage et les paramètres d’injection, la cohérence documentaire est plus simple à maintenir.
  • Production en France, ancrage local : chaîne courte, réactivité et proximité.

Savoirs-faire rendus possibles par l’intégration

Bi-injection (2K) sans rupture de charge

La bi-injection permet d’associer deux matières (rigide/souple, opaque/transparente, couleurs) en un seul cycle. Notre parc Arburg bi-injection (110 t et 220 t) couvre une large plage de géométries et d’applications (étanchéité, grip, charnières souples), tout en maintenant des temps de cycle compétitifs.

Surmoulage sur textile, métal, inserts

Les presses verticales (22–40 t) — dont un plateau carrousel — sont dédiées au surmoulage d’inserts métalliques, textiles ou électroniques. Ce set-up facilite l’ergonomie, le positionnement précis et la cadence, en limitant les faux-positionnements et les reprises.

Salle blanche & pièces sensibles

Pour les secteurs médical/laboratoire, des presses 100 % électriques en salle blanche (100–220 t) assurent une production contrôlée de composants à exigences particulaires et biocompatibles, sans rupture de flux.

Au-delà de l’injection : extrusion-soufflage & 3D

Selon le besoin, nous activons l’extrusion-soufflage électrique (PB15ED-500, double poste, jusqu’à 6 empreintes) pour flaconnage & corps creux, et les savoir-faire complémentaires du groupe : impression 3D, usinage, gabarits de contrôle. Cette palette réduit les risques de conception et le time-to-market.

Parc machines — aperçu utile pour vos études

  • Bi-injection : 110 t (x3) et 220 t (x1).
  • Surmoulage vertical : 22 t (x3) et 40 t carrousel (x1).
  • Presses électriques : Sumitomo-Demag 100–500 t (multiples références), pour précision et répétabilité.
  • Grands tonnages : BMB 1000 t et 1200 t (hybride) pour pièces volumineuses et moules lourds.
  • Salle blanche 100 % électriques : 100 t (x2), 130 t (x2), 210 t (x1), 220 t (x5).
  • Extrusion-soufflage : double poste, jusqu’à 6 empreintes.

Gouvernance & conduite de projet

Un interlocuteur unique, des décisions rapides

Vous échangez avec un chef de projet qui arbitre outillage, process, qualité, logistique. Les décisions ne “sortent” pas de l’écosystème : moins d’emails, moins de réunions, plus d’actions.

Un groupe français, multi-métiers, à proximité

Adossés au Groupe Fauchille (plastique, usinage, tôlerie, textile), nous mobilisons les bonnes compétences au bon moment : outillage neuf, modification/maintenance, gabarits & contrôle, assemblage. La proximité France/Europe renforce la réactivité et la sécurité d’approvisionnement.

Cas d’usage — secteurs concernés

Automobile, médical/labo, défense, agroalimentaire, bâtiment, sport-loisir : partout où la répétabilité, la traçabilité et la tenue mécanique priment, l’intégration verticale limite le risque projet et soutient la montée en cadence.

Un “écosystème unique” au service de vos séries

L’intégration verticale de Sagaert Plasturgie — du moule à la pièce injectée, en passant par les essais, la maintenance et les procédés avancés — sécurise vos lancements, réduit les délais, optimise les coûts et stabilise la qualité. Pour vos prochaines RFQ, appuyez-vous sur un partenaire stratégique qui parle “outillage” et “injection” d’une seule voix — et qui fabrique en France.

FAQ - Intégration verticale & injection plastique

Retrouvez l'ensemble des questions fréquentes sur l'intégration verticale et l'injection plastique
1Quelle différence entre un projet intégré et un projet multi-fournisseurs ?
Dans un modèle intégré, outillage, essais et injection sont pilotés par la même équipe et sur les mêmes presses : les boucles de correction sont immédiates. En multi-fournisseurs, chaque ajustement implique des transports, des re-plannings et des risques d’incompréhension. Résultat : des délais et coûts additionnels qui grèvent la marge.
2Pouvez-vous gérer des outillages existants (transfer tooling) ?
Oui. Nous réalisons un audit d’entrée (état mécanique, plans, historiques), une remise à niveau si nécessaire, puis une mise au point process sur nos presses. L’objectif est d’atteindre une capabilité stable sans repartir de zéro.
3Comment sécurisez-vous la qualité série ?
Parc 100 % électriques pour la répétabilité, procédures d’essais outillage, maintenance préventive, suivi des paramètres clés (températures, pressions, temps d’injection/maintien) et traçabilité matière/outillage/lot. Pour les productions sensibles, nous disposons de presses en salle blanche.
4Quelles matières et procédés avancés maîtrisez-vous ?
Thermoplastiques standards et techniques, bi-injection (2K), surmoulage d’inserts (textile, métal, électronique), vertical pour ergonomie d’insertion, et extrusion-soufflage pour corps creux. En appui, usinage et gabarits au sein du groupe pour les mises au point.
5Pouvez-vous produire en environnement contrôlé ?
Oui, nous injectons en salle blanche sur presses 100 % électriques (100–220 t), adaptées aux pièces médicales et de laboratoire.
6Quel est l’intérêt économique pour un BE/acheteur ?
Moins d’itérations payantes, moins de délais cachés, un seul flux logistique, des validations plus rapides et une production stabilisée plus tôt. À la clé : un time-to-market raccourci et un coût total mieux maîtrisé.

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